Sous un grand soleil de fin mai 2011……je suis assis sous ce gros arbre, à l’ombre, à côté de ma caravane en volige tout en regardant mes chevaux… Je lance un cri : Rizo, va faire boire les chevaux ! Réponse de suite de Rizo (mon petit-fils) : Oui, Oui, attends à demain, il est d’accord et même obéissant, mais demain ! Alors, je me tourne vers Marwine etSinaïou : allez faire boire les chevaux ! On ne peut pas, on a une fronde à monter, on ira quand on aura fini. Alors je me tourne vers brotus (le cric)Piterich et je lui adresse la même demande. Il me répond : « C’est toujours moi, et bien non ! » Non et Non et Non. Il dit Non, mais il se lève de suite, donne quelques coups de poing et coups de pieds aux pauvres chevaux, mais il les emmène boire au ruisseau. La réaction était négative, brutale même, mais le sentiment était bon.
Combien y a t il de gens qui disent toujours oui, mais ne le font jamais ou bien ils te diront toujours : attends demain, après, plus tard.
5 ans : trop jeune, me dira-t-on pour lui parler de Dieu.
12 ans : trop insouciant pour qu’il pense à Dieu : jeux, sport, télévision,vidéo, téléphone.
18 ans : trop sûr de soi pour penser à Dieu : moto, auto, permis, fourgon.20 ans : trop heureux pour penser à Dieu : mariage, enfant,…. Ont sait bien tous que l’amour est aveugle, mais on sait aussi que le mariage lui redonnela vue.
25 ans : trop occupé pour penser à Dieu : matériel, ambition, crédit.
40 ans : trop soucieux pour penser à Dieu : problème de foyer et d’argent, petit enfant petite misère, grand enfant grande misère : pas rien être grand- père.
60 ans : trop vieux pour penser à Dieu : c’est bon pour les jeunes qui se droguent. A mon âge, avec toutes mes maladies, mes arthroses, mesdouleurs, moi c’est fini ?
? et plus : trop tard pour bien faire, pour penser au moyen de salut qui est tout proche, trop tard pour la pensée de l’éternité, toi qui a toujours repoussé ou toujours fait attendre ou remis à demain ce que tu pouvais faire aujourd’hui ; demain, c’est le mot du Diable, aujourd’hui c’est le mot de
15 Mai 2011
Dieu. Tous ceux qui repoussent à demain seront surpris à l’heure de lamort.
Le thème de ces quelques notes seront sur la délivrance, car c’est Satanqui fait surgir des maladies héréditaires. Il parait même que quelqueschrétiens ou chrétiennes croient qu’ils ne peuvent pas être atteints.
Après cette introduction pour nous mettre en appétit, Bien-aimés du Seigneur, nous verrons que la parole de Dieu est une puissance de vie car tout en nous dépeignant des scènes il y a deux mille ans, elle s’adresse encore personnellement à l’homme d’aujourd’hui. C’est donc un vrai miroirsi on la lit avec des yeux spirituels.
Tout comme il y a deux mille ans le temps des miracles n’est pas fini, car leSeigneur Jésus-Christ accorde toujours un crédit illimité à la banque de la foi, un homme de Dieu dira : mieux vaut un acte de la plus petite foi…que des raisonnements même les plus élevés, alors arrêtons de commenter et venons au fait ?
Reportons-nous au jour où Jésus enseignait dans une synagogue de laGalilée. Lecture : Luc 13.10 : un jour de Sabbat.
Des siècles entiers, des chefs religieux juifs ont ajouté règle sur règle à la loi divine, selon la loi, le Sabbat est un jour de repos – (Ex 20,10,11). Lesreligieux juifs ont ajouté une règle qui disait : « Il est interdit de guérir le jour de Sabbat » ils considéraient la guérison comme un « travail ».Jésus-Christ a accompli 7 guérisons pendant les Sabbat. En agissant ainsi,Jésus voulait les encourager aux Juifs à regarder au-delà de leurs règles et à se souvenir du véritable objectif : honorer Dieu en aidant tous ceux qui sont dans le besoin. Dieu aurait-il été satisfait si son fils avait ignoré ces personnes malades ou liées par Satan qui les rendait infirmes depuis de nombreuses années dans la souffrance de la maladie.
Bien-aimés nous allons voir sept miracles accomplis par Jésus pendant un jour de Sabbat.
Marc : 1,21,28 : Jésus chassait un démon
Marc : 1,29,31 : Jésus guérit la belle-mère de Pierre
Jean : 5,1,18 : Jésus guérit un paralysé à la piscine de Béthesda Marc : 3,1,6 : Jésus guérit, l’homme a la main paralysée
Luc : 14,16 : Jésus guérit l’homme rempli d’œdème
Jean : 9,1,16 : Jésus guérit un aveugle-né
Luc : 13,10,17 : Jésus guérit la femme courbée depuis 18 ans.Donc on prendra cette lecture Luc 13.10 que j’espère vous lirez.
Alors c’était jour de Sabbat nous dirons les Evangiles et sûrement comme tous ces jours les Juifs pratiquants s’étaient rassemblés, tous comme les chrétiens d’aujourd’hui se rassemblent pour le culte ou pour les réunions, « tout devait se dérouler » sûrement, normalement, comme d’habitude. Mais Ce jour-là il y avait un visiteur « inhabituel » Jésus de Nazareth était là.
Il devait y avoir grande foule dans la synagogue, tout comme de nos jours il y a grande foule dans nos assemblées quand un orateur de renom passe pour nous apporter une pensée.
Pour Jésus de Nazareth il lui était impossible de passer inaperçu : les populations de l’époque ou même de nos jours avaient ou ont toutes entendu parler des miracles, des guérisons, donc il y avait foule, l’on accourait de partout, de toutes les régions.
Moi, vieux Bohémien, ce que je voudrais vous noter, car ce qui m’a frappéc’est que dans cet auditoire, les Evangiles nous diront qu’il y avait une femme infirme, courbée en deux et qu’elle ne pouvait jamais lever la tête, ces regards étaient rivés au sol, bloqués !
Les Evangiles nous diront « Elle ne pouvait aucunement se redresser » nous précise bien ce texte de Luc, 13. Alors nous gens du voyage qui avons l’esprit voyageur, on pensera vite qu’elle avait dû voir quelque médecin ou quelque rebouteux ou charlatan de guérisseur : sûrement dépenser tout son argent « lovais ».
La question que l’on pourrait se poser «Faisait-elle partie de cette assemblée ou d’une autre assemblée juifs» ou était-elle venue uniquement parce que Jésus-Christ était là ce jour-là ?
Etait-elle venue dans l’espoir d’avoir une complète délivrance ou pour assister à un spectacle ou par tradition comme beaucoup de nos jours ? Les Evangiles ne vous le diront pas, à nous de l’imaginer ?
Mais ce que je pourrais vous dire moi vieux Romanitchel, c’est que leSeigneur Jésus-Christ accorde toujours un crédit illimité à la banque de notre foi, quand on est sincère et naturel.
Non, les Saintes-Ecritures ne nous disent pas si elle était de cette assemblée, mais l’écriture nous apporte une indication précise au sujet du mal et infirmité qu’elle avait depuis 18 ans.
Un esprit mauvais la rendrait infirme, l’empêchant de se redresser ; nous savons que derrière cet esprit mauvais, il y avait Satan, qu’il enchaînait cette malheureuse dans la servitude cruelle depuis 18 ans, donc impossible de voir le ciel, comme un aveugle. 18 ans de souffrance morale et spirituelle !Dans cette assemblée, tout le monde était peut-être habitué à elle, il l’a connaissait peut-être tous, ils l’auraient peut-être encore même pas remarquée ? Si Jésus-Christ n’avait pas été là, elle aurait passée inaperçue encore aux yeux des fidèles pratiquants ? Et sûrement qu’elle serait repartie chez elle comme elle était venue comme aujourd’hui beaucoup repartent comme ils sont venus avec leurs problèmes ou leurs maladies et leurs infirmités d’une réunion.
Car il y a foule dans les réunions, mais pas toujours l’esprit du Seigneur,pas le Saint-Esprit tous ces grands spectacles, ces grands orateurs, çà ne sert à rien s’il n’y a pas la présence de Jésus-Christ par le Saint-Esprit. Ce n’est que théâtre !
Nous allons voir, Bien-aimés du Seigneur que la présence de cette femmeinfirme pose un grave problème aux Pharisiens : je suis obligé de vous tracer quelques notes sur les Pharisiens.
Les Pharisiens étaient des Juifs, fanatiques. Ils ont existé 400 ans avant la venue de Jésus sur terre. Les Pharisiens, leur manière d’honorer et de prierDieu plaisait au peuple. La plupart des Juifs pauvres étaient Pharisiens.
Les Pharisiens n’étaient que d’apparence, tous se bornaient dans les actes extérieurs, des grands « maniéreux ». Mais à l’époque il était utile d’avoir pour ami des Pharisiens, très dangereux de les avoir pour ennemis.
Les Pharisiens étaient assez forts pour dicter des lois au Roi ou même pour les précipiter en bas du trône. Faut savoir aussi que les Pharisiens ont perdu la face devant la puissance de notre Sauveur Jésus-Christ. LeSeigneur Jésus les comparait à des tombeaux blanchis, beaux dehors et enfermant à l’intérieur que de la pourriture :……Pharisiens, gens de fausse vertu, aimaient faire porter les travaux aux autres et eux ne touchaient à rien.
Le Pharisien avait les plus belles places à table.
Le Pharisien faisait de la loi, même de la superstition.
On revient à notre pensée « Ils sont encore là les Pharisiens je crois ? »Donc les Pharisiens se conformaient à la loi interdisant formellement lamoindre occupation le jour du Sabbat. Dans le livre des nombres, Chapitre 15, Verset 34 : Moïse nous dira qu’un homme fut mis à mort pour avoir ramassé du bois un jour de Sabbat, « il fut lapidé par tout le peuple ». Lire dans le Nouveau Testament : Matthieu 12.1 à 8 ; Marc 2.27 à 28 ; Luc 6.1 à 5
« SABBAT »
Sabbat en hébreux : Schabbath ; en grec : Sabbaton qui signifie arrêt de
travail ou repos complet, total.
Le Sabbat est le quatrième des dix commandements, que l’éternel a donné àMoïse sur le mont Sinaï :
« Souviens-toi du jour de Sabbat »
La première mention du mot Sabbat, on la trouve dans exode 16.23.30.
Dans ces quelques notes et surtout dans la lecture des Evangiles, nous voyons Bien-aimés que le fils de Dieu, Jésus-Christ n’attend pas le consentement (l’autorisation) du chef de la synagogue, un Pharisien queJésus connaissait sûrement. Pour bousculer le Rituel Religieux desPharisiens, Jésus n’avait pas d’ordre à recevoir « Tout pouvoir lui a été donné sur la terre et dans les cieux ».
N’est pas Jésus qui a dit que le Sabbat est fait pour l’homme et non l’homme pour le Sabbat.
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Jésus-Christ allait-il dire à cette malheureuse femme de revenir le lendemain, conformément à la liturgie……… Non dès qu’il vit cette pauvre victime de Satan, Jésus lui adresse la parole « femme, tu es délivrée de ton infirmité » et à l’instant même, la femme se redressa et glorifia Dieu.
Par l’imposition des mains, notre sauveur Jésus-Christ chasse aussi Satan qui le tenait lié depuis 18 ans de servitude, d’esclavage : 1ère des choses : il guérit et chasse Satan : 2ème : il lui imposa les mains pour que Satan ne revienne pas sept fois plus fort. Satan est rusé, il revient souvent sept fois plus fort après une délivrance.
A l’instant, elle se redressa et glorifia Dieu. Songeons un instant à cette joie : pendant 18 ans elle ne pouvait que regarder par terre, jamais le ciel. Tout à coup, voilà qu’elle pouvait lever les yeux au ciel ou contempler Jésus, voir Jésus-Christ face à face ; cette femme savait en elle-même que le salut de la délivrance vient d’en haut, du ciel.
Tout comme nous, on est passé de la servitude de l’esclavage, du péché à lavie éternelle, à la délivrance du péché.
Revenons à cette femme. Elle était encore entrain de louer Dieu que déjà la colère éclata en pleine synagogue, colère du chef des Pharisiens. Il dit à la foule à l’assemblée : « Il y a 6 jours pour travailler : venez donc vous faire guérir ces jours-là et non le jour de Sabbat ».
Là le Pharisien se rapportait à la lettre de la liturgie : la lettre tue, l’esprit vivifie, on l’a vu pour la femme adultère ?
Moïse leur avait dit enseigner « œil pour œil, dent pour dent ».
Jésus lui a dit : « Si on te frappe sur une joue, tend aussi l’autre ».
Alors Jésus-Christ, le fils de Dieu s’adressa à tout l’auditoire et dit avec fermeté et autorité : « Hypocrites ! Le jour du Sabbat ! Chacun de vous, ne détache-t-il pas son bœuf ou son âne de la mangeoire pour le mener boire ? Et cette femme, qui est une fille d’Abraham et que Satan tenait attachée depuis 18 ans, ne fallait-il pas la délivrer de cette chaîne le jour de Sabbat ? »
Alors ne fallait-il pas ? Oui, Oui, il le fallait et aujourd’hui il en est de même.Jésus voit celui ou celle qui gémit sous le poids de ses chaînes ; de l’esclavage ou de la servitude du péché qui ronge bien plus que le cancer.Quel que soit le jour, si tu lui demandes avec amour, Jésus va intervenir pour te délivrer, il te connaît mieux que toi-même.
Je connaissais un père de famille trop sévère pour ses enfants pour que ses garçons ne sortent pas. Après les avoir sévèrement corrigés, il employait un moyen cruel pour les empêcher de sortir avec les autres jeunes de l’époque. Il attachait ses enfants avec un fil de laine au poignet et si le fil était coupé ou cassé, il prenait une double volée l’enfant. Pour ses pauvres enfants, la tentation était double, ils étaient tentés de suivre les autres et tentés de casser le fil de laine !
Bien-aimés, le péché provoque la même tentation, il nous tient comme un fil à la patte, de nous-mêmes on ne peut rien, on n’est peut-être pas courbés comme cette femme, mais sûrement liés par un fil qui ne se voit pas, que toi tu connais bien. Un simple fil nous tient liés à Satan, ce n’est pas une grosse corde ? Mais on est liés quand même !
Spirituellement parlant, vous voulez couper ce fil ou vous redresser etglorifier Dieu : jusqu’à ce jour tu es peut-être passé dans toutes les réunions, sous tous les chapiteaux, inaperçu pour les gens. Les pratiquants, même fidèles, n’ont rien vu de ton infirmité, de ta maladie (pas du péché, çà ne se voit pas), tu as même partagé avec eux des grillades, des gâteaux, des rires. Mais est-ce que c’est cela que tu es venu chercher ?Aujourd’hui par ces quelques notes qui réveillent ta foi, « ces grands jours », Christ spirituellement est près de toi. Il va te délivrer, alors redresse-toi et remercie Jésus-Christ par la prière et la louange, ces humbles notes sont pour toi !
Redressez-vous du poids de Satan, le temps des miracles n’est pas fini.
Question : Mais comment se fait-il qu’une personne qui avait un esprit de Satan en elle puisse être dans une assemblée ? Simplement parce queJésus n’avait pas été là auparavant dans cette assemblée.
A mon tour de poser une question : Comment se fait-il que des gens, frères et sœurs, sortent des réunions comme ils sont entrés, sans même se rappeler du message qui a été prêché ce jour. Là, ils repartent avec leurmaladie, leur infirmité tout simplement parce que dans ce lieu, il y avait de l’ambiance, du spectacle, des chants mais pas Jésus-Christ, par sonSaint-Esprit.
Vous pourriez être étonnés de savoir combien il y a des gens liés, mêmePossédés par Satan qui assistent sans qu’on les voie dans des réunions.Quand il n’y a pas la présence de Dieu par le Saint-Esprit, il rentre dans une réunion avec leur problème. Quand il y a la présence de Dieu par leSaint-Esprit, ils ressortent délivrés.
Dis-moi, vieux Bohémien, « Pourquoi on se souvient de toutes les paroles et actes du Seigneur Jésus-Christ ». Et l’on ne se souvient pas des paroles de nos orateurs prédicateurs alors qu’ils ont prêché il y a que quelques jours : c’est simple, à l’époque les apôtres ont tout noté dans les Evangiles et lesEpitres : reste à savoir aussi que toutes les paroles s’envolent, seul l’écrit reste.
Reste à savoir que si un frère enseigne l’Evangile ou la Bible par le Saint- Esprit, il sera toujours écouté et compris, et çà restera en mémoire.
Mais il est possible que ses auditeurs ou même lecteurs ne le comprennent pas. « Pourquoi ? » Parce que le Saint-Esprit ne leur a pas été donnécomme à lui mais dès qu’ils l’auront reçu comme lui alors le Saint-Espritagira en eux et ils le comprendront mieux et partageront avec luil’enseignement.
L’esprit de Dieu seul peut produire en nous l’humiliation nécessaire et donner vie à une note ou études.
Un Prédicateur ou enseignant de l’Evangile ne doit jamais se servir d’untexte biblique si le sens ne lui a pas été enseigné auparavant : par leSaint-Esprit lui-même car l’enseignement de la vérité vient du Saint-Espritet tu ne peux pas faire aller des gens où tu n’es jamais allés. C’est tout comme un aveugle qui conduit d’autres aveugles ?
Frères et sœurs : lecteurs : vous aussi vous ne devez pas spirituellementrester un enfant, vous devez grandir dans la grâce et la vérité, vous devez
apprendre à connaître la volonté de Dieu par le Saint-Esprit ou par sa parole, la Bible.
Que de riches bénédictions du Seigneur Jésus-Christ repose sur vous. « Temple du Saint-Esprit ».
Je termine toujours pareil en vous embrassant bien fort, sans oublier tous les enfants et les petits vieux et tous ceux qui ne m’aiment pas, parce que mes notes les dérangent.
Moi qui écris pour ne pas oublier et qui étudie et enseigne, dicté par leSaint-Esprit pour donner l’enseignement de la vie, de l’esprit.
Vieux Gitan que je suis, j’ai écrit des dizaines et dizaines de ces humbles notes. Je suis à ta disposition ; si tu veux que je t’en expédie gratuitement ou si tu veux me contacter, tu as mon adresse en bas de la page (pareil pour le Net) ou le téléphone « car on est de la famille du père des lumières ».
Que Dieu vous bénisse à tous.
Papou
Fais du bien à un autre en lui donnant ces humbles notes de ce vieux Bohémien.